• évanouissement du moi


    Le plat ballet de la parole a le don d'endormir; dans la lente berceur des propos enchaînés, il devient de plus en plus difficile de s'affranchir du sommeil engourdi, sommeil, immergement doucereux dans la passivité oniriquement active...

    Le printemps des amitiés sait s'éterniser, lorsqu'il a appris à se ponctuer d'automnes.

    Vieux papillons de cendre

  • Commentaires

    1
    Samedi 10 Juin 2006 à 20:58
    popo
    c triste comme fin... mais l'onirique peut se trouver aussi dans la réalité! lis des haikus lol(fais comme mon pR!)
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