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Bâtons rompus
Se voir heureuse en sa solitude; s'y croire immergée. Jouir de ces trêves, de cette paix armée, au coeur de la bataille contre soi-même. Déglutir l'espace, puis encore l'espace, qui se renouvelle devant les yeux, malgré le décor inchangé.
Donner une naissance avortée au futur. Se sentir emprisonnée dans cet espace qui entoure et enlace de ses bras trop tranchants et trop aériens. Il est difficile d'y évoluer.
L'immobilité malsaine et nerveuse, dans un calme qui, lui, ne semble rien attendre.
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Commentaires
hello
L'immobilité malsaine et nerveuse, dans un calme qui, lui, ne semble rien attendre. j'aimesalope
alors c toi la cone ki c pa ke en général kan on a 1 blog on écri pa en tte létr parcde k sa va + vite!! é pui dabor si mon blog ne te plé pa je tobloj pa a i alé alor lache moi é ocupe toi 2 ton q sa changra 1 pe.salope
alors c toi la cone ki c pa ke en général kan on a 1 blog on écri pa en tte létr parcde k sa va + vite!! é pui dabor si mon blog ne te plé pa je tobloj pa a i alé alor lache moi é ocupe toi 2 ton q sa changra 1 pe.Salut, Déviante,
j'allais te laisser un petit mot pour te dire que je lis avec intérêt tes écrits, et que je trouve tes images fortement signifiantes, bref, je suis impressionnée. En tout cas, la vilaine personne ci-dessous a disparu.Tant
il est vrai que le futur est encore et toujours avorté dans nos neuronnes sublimées par l'attente d'un espoir qui se tord les pieds sur les chemins tortueux de notre vie. J'aime ton style vibrant, qui nous jette dans les bras d'un devenir incertain. Amicalement.
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que j'ai souvent l'impression de me sentir seule même au milieu d'une foule entière. Les gens bougent, parlent, marchent autour de moi... et pourtant, je ne vois rien, je reste sourde à leurs appels, je n'avance plus avec le temps, comme figée... dansma solitude... voire mon isolement... Bises