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Sous les pavés moussus, les égouts
Il y a au bord de l'été comme une frange
Une longue lisière écumeuse frontière
Aux marées vomissantes qui secouent les pierres,
Au pli du poli d'un bras, limite qui dérange.
A l'extérieur du soi, comme toujours, la guerre
Entre les monades et les groupes qui prêts se rangent.
Les groupes éclatent, les monades entre elles s'arrangent;
Voyons cela de l'oeil qui blesse la lumière.
Les parfums de prison s'emmêlent et s'épaissisent,
Se détachent des vieux chiens qui glapissent;
Ils emplissent la pièce céleste d'un beau noir.
Pauvre décor permanent qui ennuie les grands yeux
Et parvient à les occulter pour trouver mieux
Avant un suicide dansant, sale désespoir.
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Commentaires
écriture, m'envole toujours dans des rêves ou mon imagination se débride en folie de proses douces bises