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élasticité du temps
Se reposer en soi, enfin... Etre un peu seule, sans mêler d'inconnus à soi.
Attendre de nouveau parmi ceux qui courent, désemparée souriante et cynique.
Entendre le tableau d'affichage bruisser comme une averse, déversant de nouvelles destinations.
Courir sur les quais, sans personne à rattraper sauf l'ombre des moineaux sous les structures métalliques.
Bonsoir, je suis revenue en moi.
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Commentaires
3OléastreJeudi 19 Avril 2007 à 11:29Plume douce et sonnante !
Merci. Une prose légère, bruissante comme l'eau, de la musique aux lèvres.
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la nature...